Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Humanisme : le Contrat social
30 octobre 2008

Les aventures du roi Pausole 2

Chapitre VI : Où Pausole et ses compagnons causent à bâtons rompus et s’arrêtent sur une pointe d’épingle. Pausole apprécie son armée maintenant qu’elle a remplacé les lances pointues par des hampes à fleur. Il discute avec Giglio du rôle des femmes. Partout sauf à Tryphême et au Japon, une femme nue, c’est une prostituée. Il veut contempler la nudité des femmes par lui-même et pas à travers les yeux d’un peintre car il ne se sent pas artiste. Pausole veut franciser le prénom du page car c’est la langue de son peuple. Giglio sera donc pour lui Gilles. Le page veut savoir quel nom aimerait porter Pausole devant l’Histoire et le roi aimerait assez Saint Pausole car il voudrait être canonisé. Taxis a trouvé un bijoux de la princesse, une épingle double. Ils suivent donc le bon chemin. Giglio veut éloigner Taxis en le renvoyant au Palais pendant qu’il continuera la recherche d’Aline avec le roi et Pausole suit son conseil. Avant d’aller à l’auberge du coq, le page conduit le roi vers une ferme pour y boire du lait. Chapitre VII : Comment Guiguelillot, après plusieurs aventures pendables, inventa un stratagème et retrouva la blanche Aline. Pausole et Giglio sont accueillis par le vieux métayer et les filles de ferme. Les belles sont nues et les laides habillées selon la mode de Tryphême. Giglio est séduit par une belle fermière, Thierrette. Celle-ci peut donner du lait à Pausole tandis que le page profite de sa tranquillité pour mettre le désordre dans la ferme. Après quoi il reprend sa promenade dans la métairie et rencontre une autre belle jeune fille. Elle donne à Giglio ce qu’il attendait d’elle. Naïve elle espère le revoir. Inassouvi, le page se rend dans la chambre de Thierrette, profite d’elle et pense encore au moyen d’éloigner Taxis. Il prend les vêtements d’hiver de Thierrette pour se déguiser en femme. La nuit, Giglio habillé en fermière passe devant les quarante gardes. Voyant Taxis, il contrefait sa voix et dit à l’Eunuque que Pausole est rentré au palais. Taxis se laisse berner et repart au palais. Le page se rend à l’hôtel du coq. Il se fait indiquer la chambre d’Aline et Mirabelle et y monte. Chapitre VIII : Où la blanche Aline prend son tub vers quatre heures de l’après-midi. Après avoir passé la nuit dans le bois, Aline se réveille tandis que son amie a passé son temps à la regarder. Elles mangent et reprennent la route. Elles s’arrêtent à l’hôtel du Coq. On leur donne la plus belle chambre. Aline propose à Mirabelle de faire sa toilette avec elle. Mirabelle est surprise par tant d’ingénuité car pour elle les femmes sont soit chastes soit sataniques. Elle découvre une troisième voie avec sa nouvelle amie. Mirabelle se met nue devant Aline qui trouve qu’elle ressemble à un garçon car elle n’a pas de seins. Mais elle la trouve plus belle que les femmes de son père. Aline insiste pourtant en demandant à Mirabelle si elle n’est pas un garçon. Chapitre IX : Où Pausole, ayant secoué la mélancolie de la règle, éprouve les déboires de la fantaisie. Nicole, la fille cadette du métayer veille sur le sommeil de Pausole. Elle rêve d’avoir un mari avec un bon statut. Elle veut séduire le roi et lui récite des vers. Hélas, c’est ce moment qu’a choisi Diane à la houppe pour faire son apparition. Pausole crie après Taxis et Giglio et se désespère qu’ils l’aient laissé avec des folles. Chapitre X : Comment Guigelillot parvint jusqu’au chevet de la blanche Aline et ce qui s’ensuivit. Giglio se fait passer pour un domestique pour entrer dans la chambre d’Aline. Le page éprouve du désir en voyant la princesse nue mais doit se refréner pour ne pas gâcher son plan. Il reprend sa voix d’homme et Aline se sent découverte. Mirabelle doit la consoler et Giglio voit que l’amant de la princesse était en fait une amante. Il salue. Aline a réalisé que Giglio était un page de son père et a peur de la suite. Mirabelle ne se démonte pas, elle se présente nue devant le page et l’embrasse. Elle lui propose de se donner à lui s’il ne dit rien au roi. Giglio la rassure et dit qu’il veut les sauver toutes les deux de la prison. Giglio donne à Aline sa robe de fermière et veut que Mirabelle sorte nue. Comme elle n’est pas de Tryphême, elle n’a pas l’habitude et cela la gène. Elle finit par accepter et le page leur conseille d’aller se réfugier dans l’immeuble de l’Union tryphémoise pour le Sauvetage de l’Enfance. On ne les interrogera pas car l’Union protège les enfants maltraités par leurs parents et est habituée à ce que les enfants n’osent pas dire d’où ils viennent. Aline avait laissé dans la chambre une lettre pour son père mais le page la lit et l’emporte avec lui. Il pense à donner les vêtements d’Aline et de Mirabelle à des petits paysans pour créer une fausse piste. De retour à la métairie, Giglio envoie les quarante soldats dans le bois pour honorer Thierrette à sa place l’un après l’autre ne voulant pas respecter son rendez-vous! Livre 3è Chapitre 1er : Comment le harem abandonnée leva l’étendard de la révolte. Le harem de Pausole s’offusque en apprenant que le roi est en voyage avec Taxis. Elles veulent profiter de l’absence de l’Eunuque pour prendre des vacances dans les jardins du palais mais Mme Perchuque, la dame d’honneur veut les en empêcher. Alors la future reine Fannette intervient pour inciter les autres à faire grève. Elles quittent le harem et pendent Mme Perchuque par le pied gauche à une statue. Malheureusement Taxis est de retour et met les femmes en déroute. Seule Diane à la houppe a réussi à fuit pour retrouver le roi. Chapitre II : Où M. Lebirbe entre en scène et où Philis pousse un petit cri. M. Lebirbe, président de la Ligue contre la licence des intérieurs se présente à Giglio. Il veut recevoir le roi chez lui. Le page veut savoir s’il a des filles et veut venir en éclaireur pour faire son rapport au roi. Les filles de Lebirbe s’appellent Galatée et Philis. Giglio en profite pour attirer Philis par la poitrine et lui mettre un baiser silencieux derrière l’oreille. Elle pousse un cri et son père s’inquiète mais la jeune fille ment en disant qu’elle s’est piquée. Le page semble satisfait de la demeure de Lebirbe et part faire son rapport. Chapitre III : Où l’on découvre un crime horrible. Rosine, une jeune fille de la ferme prévient Giglio que des hommes veulent le tuer. Un chameau est entré dans la ferme. La remise que Giglio avait saccagée a provoqué la colère du métayer et les seaux volés par le page ont également été sujet de courroux. Diane à la houppe a fait un scandale par jalousie contre Nicole. Une fermière aurait été tuée, on a retrouvé ses vêtements et du sang dans sa chambre. C’est Giglio qui est accusé du crime. Le page n’a pas peur et se rend à la métairie pour en savoir plus. Chapitre IV : Comment Guiguelillot se présente chez le roi et quelles paroles furent prononcées pour et contre sa bonne cause. Giglio se glisse dans les écuries pour ne pas se faire prendre par les hommes qui l’attendent à la ferme. Il coupe la crinière de Kosnan, le cheval de Taxis et peint sur son dis « 1572 » pour narguer l’Eunuque parpaillot. Puis il se rend à la chambre à pain où a été enfermée Diane à la houppe. Elle dort nue et le page médite sur ses chances de la séduire. Giglio entre sans frapper dans la salle du trône et se présente au roi. Pausole est furieux car la page a mis la ferme sens dessus-dessous, l’a laissé seul, sans conseil et sans soldats avec deux folles qui se sont battues pour lui. Mais le page reste calme et parle de la maison de Lebirbe à Pausole. Il l’encourage à s’y rendre pour dormir. Il donne au roi la lettre qu’Aline a laissée dans sa chambre d’hôtel. Quant à la révolte de Diane, le page en fait porter la responsabilité à Taxis qui n’a pas su garder le harem. Taxis accuse Giglio du meurtre de Thierrette mais le page apprend au roi que la fermière est dans le bois en train de soulager la concupiscence des quarante soldats. Chapitre V : Où chacun est traité selon ses vertus. Pausole est reconnaissant envers Giglio et projette sa colère sur Taxis qu’il juge hideux et impolitique. Il lui demande d’indemniser le métayer pour les dégâts causés sans croire que son page en est l’auteur. Chapitre VI : Où M. Lebirbe et le roi Pausole s’aperçoivent avec surprise qu’ils ne s’entendent pas sur tous les points. Pausole arrive chez M. Lebirbe. La femme de ce dernier s’entretient avec Diane car elles ont des relations communes. Lebirbe dresse l’éloge de sa ligue devant le roi, sa devise est « Exemple, Franchise, Solidarité ». Pour lui mettre une robe sur le corps d’une jeune fille c’est éveiller des curiosités malsaines chez les jeunes gens, c’est de l’excitation au vice. Il préconise donc la nudité. L’important est de maintenir la femme dans l’inclination naturelle qui la pencher vers la volupté. Par la propagande au moyen de livres et de pièces de théâtre, Lebirbe combat la licence des intérieurs et favorise la vie au grand jour, la franchise des moeurs, l’exemple et l’enseignement direct de l’étreinte, l’expansion de la volupté publique à Tryphême. Mais cela ne suffit pas car Lebirbe demande à Pausole de signer une loi de la nudité obligatoire pour la jeunesse. Mais le roi refuse car il ne veut pas intervenir dans la vie d’un citoyen libre. Pour lui, chacun est maître de sa tenue et de ses actes. Chapitre VII : Où l’on fait des récits de voyage sur un pays bien singulier. Giglio cite des vers devant Pausole et la famille Lebirbe. Il en est l’auteur et a intitulé ses oeuvres « Le mannequin d’opale » et « Larmes d’une âme », le troisième a été édité par un éditeur juif et porte un titre scabreux que Louÿs refuse de citer. Puis Giglio parle des moeurs des Parisiennes. Elles veulent plaire à tout le monde et elles ont un respect très particulier pour les vieux messieurs. Dans la classe inférieure, la femme exprime sa déférence envers l’homme âgé en levant le pied à hauteur de son oeil dans les bals publics ou au Casino de Paris. Dans le milieu bourgeois, la femme témoigne une vénération toute filiale pour les vieillards en tirant sa jupe de façon à mouler les formes en arrière tout en dévoilant le mollet gauche. Chapitre VIII : Comment Taxis prétendit suivre l’exemple de la belle Thierrette. Taxis arrive chez M. Lebirbe du coup Giglio ne veut plus lire ses vers devant lui. Taxis reproche au page d’avoir livré Thierrette aux quarante soldats du roi. Le page se sent insulté et provoque l’Eunuque en duel mais Taxis refuse de se battre et préfère faire des excuses au page. Chapitre IX : Comment Guiguelillot comprenait les devoirs de l’hospitalité antique. Pausole gagne sa chambre avec Diane à la houppe et le page se sent mordu par la jalousie. Alors il glisse dans les mains des filles de Lebirbe des billets d’amour afin d’avoir deux chances contre une d’oublier Diane à la houppe. Philis a lu le billet et reçoit le page dans sa chambre. Elle est ingénue et veut que Giglio la renseigne sur les choses de l’amour. Mais quand la belle veut aller plus loin, le page refuse se disant qu’il vaut mieux aborder la plus responsable des filles Lebirbe, Galatée. Galatée sait tout ce que le page a fait dans l’hôtel du Coq et elle est décidée à ne pas le taire si Giglio ne l’approche sans permission. Chapitre X : Où Guiguelillot reçoit de Melle Lebirbe une proposition qui lui sourit tout de suite. Galatée a espionné Giglio grâce à ses jumelles car elle trompe son ennui en regardant ainsi tout ce qui se passe dans l’hôtel. Philis a renvoyé l’esclave qui était chargée de surveiller Galatée, ainsi Lebirbe apprend que Giglio est entrée dans la chambre de Galatée et il saura que c’était avec son consentement. Le page a deviné que Galatée est encore vierge et calme ses ardeurs en espionnant les amours des autres dans l’hôtel. Galatée veut que Giglio l’aide à partir de chez son père et elle passe deux heures avec lui pour le remercier de son aide. Chapitre XI : Comment les projets de Pausole et les rêves de Diane à la houppe s’accordaient exactement. Pausole se lamente car il est loin de son Palais mais Diane veut le consoler et s’est occupée de son confort. Elle lui révèle que la soeur de Mme Lebirbe a été la maîtresse de son père à elle. Diane veut convaincre le roi de la prendre pour seule maîtresse mais Pausole pense que la continence de ses reines devraient être allégée en lâchant le corps de ses pages nuit et jour dans le harem. Diane est influencée par les paroles du roi et rêve qu’elle est visitée par un page. Livre 4è Chapitre 1er : Comment Diane à la houppe expliqua son rêve et Thierrette ses ambitions. Pausole veut voir Giglio mais celui-ci est épuisé d’avoir donné toute son énergie pendant la nuit à Philis, Galatée et Diane. Quand il entre dans la chambre de Pausole, Diane réalise qu’elle n’a pas rêvé et le traite de gibier de guillotine. Il lui raconte avoir envoyé Galatée dans une maison de Tryphême où les femmes peuvent fréquenter des hommes librement. Pausole demande au page s’il sait où se trouve Aline et Giglio répond qu’elle est à Tryphême et qu’il vaudrait mieux partir le jour-même. Taxis veut lui aussi trouver le roi pour lui annoncer que Galatée a été enlevée par un suborneur inconnu. L’Eunuque pense que le coupable est le même que celui ayant enlevé Aline mais Pausole méprise cet avis. Taxis s’est servi des jumelles de Galatée et pense avoir vu Aline et son amant sur le chemin de Tryphême alors Pausole décide de partir à sa recherche. Thierrette revient voir Giglio pour le remercier de lui avoir envoyé les soldats. Elle semble avoir trouvé du plaisir. Mais elle a été renvoyée par le fermier et elle veut être cantinière auprès des soldats. Giglio accepte à condition qu’elle se cache provisoirement. Chapitre II : comment Philis trouva un mari. Pausole est épris par les jeunes grâces de la petite Philis, il la met au rang des Reines et l’emmène avec lui. Chapitre III : Où Philis babille, écoute et s’instruit. Philis est ravie d’être reine et d’avoir pour amies les femmes du harem. Pausole congédie la Reine Denyse pour que chacune de ses femmes ait des droits égaux qui s’affirment une fois l’an. Il veut garder l’ordre parfait. Philis avoue qu’elle sait peu de choses et le roi est content qu’elle dise la vérité. Giglio trouve que les Tryphémois ressemblent aux Français et croyait trouver un monde plus différent du sien, quelque chose de bouleversé. Mais Pausole affirme qu’il a voulu rendre à l’homme la vie un peu plus facile et douce en le laissant libre d’accomplir tout ce qui ne fait de mal à personne. Taxis a arrêté les paysans qui ont trouvé les vêtement de Aline et Mirabelle et pense avoir découvert les coupables de l’enlèvement de la princesse. La jeune paysanne et son frère sont jugés parfaitement idiots par Pausole et donc incapables de mal faire. Taxis trouve des lettres de Mirabelle dans les vêtements des paysans et est sûr qu’elle est l’entremetteuse.
Publicité
Publicité
Commentaires
Humanisme : le Contrat social
Publicité
Archives
Publicité