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Humanisme : le Contrat social
27 janvier 2007

Scientologie

La scientologie : multinationale du bourrage de crâne à vocation ésotérique Qu’est-ce que la scientologie ? Selon la Scientologie, notre personnalité est composée de différentes parties : le corps, le mental et le thétan. Le thétan est à la Scientologie ce que l’âme est au Christianisme et l’esprit à l’Hindouisme. Une partie du problème de la vie est que les êtres humains ont perdu la conscience de leur véritable nature. Dans la Scientologie, cela se traduit par une conscience de soi-même en tant que thétan. Et la conscience et la connaissance de soi-même en tant que thétan sont essentielles au bien-être et à la survie. Les être humains confondent souvent leur plus profonde réalité avec le corps ou le mental, ou se voient uniquement en tant que corps et/ou pensée. Mais, d’après la Scientologie, il est essentiel que les êtres humains retrouvent et reconnaissent leur nature spirituelle, que suivant le langage de la Scientologie, « chacun est un thétan ». En tant que thétans, les êtres humains sont spirituels, immortels et « pratiquement indestructibles ». La scientologie s’est donc inspirée de la gnose. L. R. Hubbard a écrit 25 livres et des centaines de brochures qui totalisent plus de 10 000 pages et ses conférences enregistrées sur bandes magnétiques représentent 2 000 heures d’écoute. Sa pensée s’inscrit dans un cadre inspiré par la psychanalyse, l’occultisme, la réincarnation et la science-fiction. Hubbard est né le 11 mars 1911 dans le Nebraska. Dans les années 20 il accompagne son père officier de marine dans une série de voyages en Extrême-Orient. A son retour aux Etats-Unis, il tente de poursuivre des études dans une école d’ingénieurs mais il est recalé dès la première année en physique et mathématiques. Malgré cet échec Hubbard se vantera toute sa vie d’avoir réussi un brillant parcours universitaire. La personnalité de Ron Hubbard est à l’image de la scientologie. Déçu par une vie sentimentale et professionnelle médiocre, Hubbard compense ses échecs par un orgueil et une mythomanie démesurés. En 1942, la Navy dresse un rapport sur le lieutenant Hubbard. Les termes choisis pour le décrire résument parfaitement son caractère : « Cet officier n’est pas qualifié pour exercer indépendamment des responsabilités. Il parle trop, veut faire l’important et se prétend doué de capacités exceptionnelles dans presque tous les domaines. » Les origines de la scientologie Les origines de la scientologie sont multiples. La secte est très hiérarchisée et comporte plusieurs grades dans les plus hauts sont secrets. On peut reconnaître dans une telle structure l’influence des sociétés secrètes du type rose-croix, théosophie ou anthroposophie et pour cause puisqu’il est démontré qu’Hubbard fit partie de l’Ordo Templis Orientis., ordre ésotérique dans lequel il rencontre l’occultiste Aleister Crowley. Crowley était la brebis galeuse de la Golden Dawn, société secrète ésotérique d’influence maçonnique. Il se fit remarquer en Angleterre et en Italie pour ses excès divers : pédophilie, mégalomanie et toxicomanie. Initié au sein de l’OTO Hubbard ne tarde pas à suivre les pas de Crowley. l pratique la magie noire et espère créer un Antéchrist doué d’un intellect supérieur à l’aide d’invocations. Il couche également avec toutes le femmes de l’OTO comme le révèle Russel Miller dans son livre intitulé Ron Hubbard, le gourou démasqué. 1 La deuxième origine de la scientologie est la science-fiction. Hubbard écrit de nombreux romans de ce genre littéraire très populaire aux Etats-Unis mais son écriture confuse et redondante ne lui permet jamais d’entrer au Panthéon des grands écrivains. Néanmoins, la lecture des ouvrages hubbardiens révèlent quelques pistes pour la compréhension de l’univers scientologue. Les héros d’Hubbard possèdent des super-pouvoirs comme la télépathie, la mémoire photographique ou l’immortalité. La troisième origine de la scientologie est la psychanalyse. Hubbard a volé quelques éléments de la théorie freudienne. La séance de psychothérapie est appelée audition en langage scientologue et l’analyste porte le titre d’auditeur. Les auditions sont des sortes de séances de psychanalyse sauvages au cours desquelles, sous la conduite de l’auditeur, l’adepte est censé remonter dans sa vie passée, à la recherche des engrammes, c’est-à-dire des incidents qui l’ont traumatisé. En réalité, l’audition est une contre-psychanalyse puisqu’elle ne sert pas à améliorer l’adepte mais à le détruire psychologiquement. Ron Hubbard prouve son cynisme en expliquant clairement aux adeptes déjà conditionnés que l’audition va permettre de les dominer et que tout processus d’audition est un acte de contrôle. Il s’agit bien d’un lavage de cerveau puisque même si la personne auditée résiste, l’énergie qu’elle dépense à résister finit par avoir raison de son libre arbitre. La froideur de la doctrine hubbardienne se manifeste dans les multiples techniques de manipulation mentales inventées par le gourou. Hubbard n’a eu aucun scrupule à s’approprier l’invention d’un appareil qu’il a appelé « l’électromètre » qui n’est rien d’autre qu’un simple détecteur de mensonge. Les sectateurs de la scientologie armés de leur détecteur de mensonge peuvent savoir ce que ressent la personne qui vient de tomber dans leur filet. en effet, l’angoisse a des conséquences physiologiques comme l’augmentation du rythme cardiaque ou la transpiration. L’appareil des scientologues permet de percevoir ce genre de perturbations physiques. Quand une question posée par le manipulateur scientologue provoque une réaction d’angoisse chez la personne piégée, elle est reposée inlassablement jusqu’à ce que la personne craque nerveusement. En général, il s’agit d’un souvenir douloureux impliquant la vie intime de l’adepte. Le but des scientologues est d’amener les adeptes à la plus grande insensibilité possible. Au bout d’une vingtaine d’auditions un souvenir qui provoquait complexe et malaise chez l’adepte ne lui cause plus aucune réaction. Il apparaît ainsi clairement que la scientologie veut transformer les êtres humains en robots à la solde des chefs de la secte. Elle a largement les moyens de réaliser ses ambitions puisqu’elle dispose de confortables revenus : plus de 150 millions de dollars par an aux Etats-Unis. Scientologie et ésotérisme Hubbard fut donc membre de l’OTO et féru d’ésotérisme. La scientologie s’en ressent en présentant une structure hybride. Elle est à la fois société ésotérique hiérarchisée et pseudo-religion. Il existe huit grades supérieurs dans la scientologie de l’OT 1 à l’OT 8. Pour y accéder, il faut payer une véritable fortune. Ces grades supérieurs font miroiter à l’adepte la délivrance de pouvoirs fabuleux. De nombreuses personnes déçues par leur vie professionnelle ou familiale aspirent à une certaine reconnaissance affective. Qu’une secte propose une vie meilleure grâce à une multitude d’initiations, de techniques pseudo-psychanalytiques et le tour est joué. 2 La façade ésotérique de la scientologie présente de nombreuses similitudes avec des organismes sectaires comme les rose-croix. L’AMORC et la Rose-Croix d’or prétendent pouvoir enseigner la télépathie et la télékinésie au moyen de brochures vendues à des prix prohibitifs. L’enseignement scientologue est de la même veine. L’ésotérisme intéresse quelques mégalomanes avides de pouvoir. Ces mégalomanes peuvent devenir dictateur ou gourou. Il existe un ésotérisme d’extrême-droite comme le prouve les thèses racistes développées par Rudolph Steiner créateur de l’anthroposophie. On sait également que les nazis étaient férus d’astrologie et avaient participé à une société secrète du nom de Thulé. L’ésotérisme existe bel et bien dans les sectes et plus particulièrement dans les mouvements rosicruciens. La franc-maçonnerie doit combattre les sectes car la présence de l’ésotérisme en scientologie ou ailleurs peut semer la confusion et servir les antimaçons. Plus grave, il existe de farouches opposants aux sectes qui assimilent nos loges aux mouvements sectaires. Ils obtiennent parfois crédit dans les médias. En 1988, Julie Darcondo, une psychologue et sociologue avait publié un ouvrage intitulé Voyage au centre de la secte dans lequel elle révélait les techniques de manipulation mentale des scientologues ce qui était louable. En revanche sa conclusion servait les pires idées politiques développées par Drumont, Taxil ou Le Pen et leur fameux complot judéo-maçonnique. A la page 311 de Voyage au centre de la secte, Julie Darcondo attaquait Alain Vivien, auteur d’un rapport sur le sectes. Elle attaquait également la franc-maçonnerie dans des termes très durs : « La mission de M. Vivien n’était pas d’éclairer le problème, et encore moins de lui apporter une solution, mais de noyer le poisson - ce qu’il fait avec maestria, en donnant même l’impression au grand public qu’il prend position contre les sectes. Des journalistes eux-mêmes s’y sont laissés prendre ! La comédie est bien montée et donne l’illusion du vrai. Dans son journal Ethique et Liberté, la scientologie proteste avec véhémence contre le rapport Vivien, et va même jusqu’à accuser son auteur de trahir les nobles idéaux de la franc-maçonnerie !... ». Au contraire, M. Vivien les sert scrupuleusement selon la règle que répétait le frère maçon Arnold Taynbee : « Nous devons constamment nier avec nos livres ce que nous avons fait avec nos mains... ». Chacun dans son camp, M. Bonnet pour la scientologie et M. Vivien pour la franc-maçonnerie, s’y emploient avec diligence. Leur action est-elle si différente ?... Il s’adonnent d’autant plus sincèrement à leur lutte qui es oppose qu’ils sont incomplètement initiés aux stratégies de leurs dirigeants respectifs. Toutes les sectes et la franc-maçonnerie en est une, la plus grande, la plus puissante sans doute, puisque c’est elle qui tire les ficelles de la politique mondiale, sont constituées de telle sorte que les niveaux inférieurs ignorent ce qui se passe au-dessus d’eux. Que la structure soit pyramidale ou en cercles concentriques, la loi est absolue ». Fort heureusement l’histoire allait anéantir la thèse de Julie Darcondo puisque Alain Vivien deviendra responsable de la Mission interministérielle de lutte contre les sectes et se revendiquera ouvertement comme membre du Grand-Orient. La maçonnerie doit toutefois prendre plus de vigueur dans la lutte anti-secte sous peine de prêter le flan aux théories fumeuses dont elle a été trop longtemps victime. Le grand public doit être averti de la position du Grand-Orient vis-à-vis des sectes, ce qui permettra de couper court à tout délire comme celui inventé par Julie Darcondo. 3 Dans son journal Ethique et liberté, la scientologie attaque violemment le député André Vivien dès 1985. André Vivien fut le précurseur de la lutte anti-secte, il fallut près de dix ans pour que son combat soit suivi par les médias. L’extrême habilité des scientologues pour dénoncer leurs ennemis consiste à jouer l’éternel rôle de victime en s’abritant derrière des nobles idéaux. Ainsi, en 1985 la scientologie dévoilant l’affiliation maçonnique d’André Vivien, on aurait pu croire que la scientologie allait verser dans l’antimaçonnisme. Ce serait mal connaître la secte. En s’appropriant l’idéal maçonnique, les scientologues pouvaient se permettre de dénoncer André Vivien comme traître de la franc-maçonnerie : « Depuis toujours les francs-maçons ont accoutumé, dans leurs loges, d’entendre avec respect s’exprimer la pensée d’autrui, quelle qu’elle soit : dans leur libéralisme intellectuel, ils ont dépassé le stade de la tolérance, pour accéder au niveau de ce respect. Ansi les francs-maçons apprécient la thèse de ceux-ci, et l’antithèse de ceux-là. Mais leur rôle n’est pas passif. Quand ils ont entendu s’affronter la thèse et l’antithèse, ils s’efforcent de tirer une synthèse de l’ensemble. » <...> Notre porte reste chaleureusement ouverte à tous les francs-maçons spiritualistes qui pensent comme nous que l’action de Monsieur Vivien trahit les vrais idéaux de la franc-maçonnerie et qui souhaiteraient aborder l’étude des scientologues. » (Ethique et liberté, juillet 1985). Ron Hubbard a été initié dans la secte satanique OTO en 1946, cette secte prône la suprématie de l’esprit. La structure initiatique de la scientologie s’appelle le « pont ». Au sein de celle-ci, les adeptes doivent évoluer pour atteindre le grade de OT 8 : thétant opérant niveau 8. Chaque initiation est un degré franchi vers le lavage de cerveau complet. De plus les passages de grades reviennent à 60 000 francs chacun. Le grade le plus connu du grand public est celui d’OT 3 autrement intitulé « le mur du feu ». Sa bêtise est telle que les médias en ont faut leurs choux gras. Pour atteindre OT 3, il faut être capable de débusquer les « thétans », vocable scientologue désignant un être spirituel immortel, qui sont sur votre corps de manière à les libérer pour qu’ils prennent vie dans un nouveau corps. Ces thétans sont alors capables de devenir autant de bébés normaux alors que sans l’initiation au grade d’OT 3, l’adepte aurait continué d’emprisonner les pauvres êtres spirituels. La scientologie et l’entrisme L’originalité de la scientologie par rapport aux autres sectes se manifeste par une soif de pouvoir. La secte tente d’infiltrer tous les milieux influents et même les gouvernements. Ainsi, en 1977, une gigantesque opération d’espionnage fut démasquée. L’opération baptisée « Blanche Neige » par Hubbard avait pour but l’infiltration de l’administration des Etats-Unis. Des taupes avaient réussi à investir tous les ministères et à récupérer plus de trente mille pièces, dont vingt-trois mille documents ultra-confidentiels relatifs à la scientologie. Le ministère de la Justice découvrit l’opération secrète et arrêta un agent scientologue nommé Meisner. Celui-ci avoua dans les menus détails tout le mécanisme de la mission « Blanche Neige ». Les représailles furent rapides mais relativement peu sévères. Le FBI saisi tous les documents qu’il put trouver dans les locaux de la scientologie et arrêta neuf responsables de la secte dont l’épouse d’Hubbard. 4 Mary Sue Hubbard qui dirigea l’opération Blanche Neige n’échoppa que de cinq ans de prison. La France est également touchée par l’entrisme scientologue comme le révèle Serge Faubert dans son livre Une secte au coeur de la République. Le 24 mars 1988, Patrick Vick, alors scientologue, se défenestre sous les yeux de sa femme. Celle-ci porte plainte contre x pour « homicide, escroquerie et exercice illégal de la médecine » car elle est convaincue de la responsabilité de la scientologie dans la mort de son mari. Patrick Vick était devenu dépressif et absorbait des gélules en grande quantité. Le juge Georges Fenech se saisit de l’affaire et décida d’enrayer la machine scientologue bien huilée par un procès exemplaire. trois responsables sont arrêtés et emprisonnés dont la présidente de la branche française Danièle Gounord. Mais un agent de l’OSA, les services secrets de la scientologie a réussi à infiltré l’Elysée. Il est désigné sous le nom de code F 10 par les responsable de l’OSA et passe pour un familier de Mitterrand selon les rapports secrets de la scientologie que Serge Faubert a découvert. F 10 s’appuie donc sur Mitterrand pour contrer le juge Fenech et le ministère de la Justice. Le 24 juillet 1990, le juge Fenech est désavoué par le procureur de la République et le lendemain les responsables scientologues sont libérés. Scientologie et franc-maçonnerie François Koch dévoile dans L'Express du 26/09/2002 que le frère Serge Bornstein était proche de la scientologie. L'affaire a ébranlé le Grand Orient de France. Alain Bauer a avoué que la secte a tenté d'infiltrer l’ obédience maçonnique et le Dr Serge Bornstein a fini par être frappé d'exclusion en 1999 par la chambre suprême de justice maçonnique du GO. Bornstein, éminent psychiatre affirma pourtant n’être adepte d'aucune secte. L’ancien vénérable de Droiture et solidarité, la loge parisienne que fréquentait Bornstein au GO n’a pourtant jamais eu de certitude sur l’ appartenance du psychiatre à la scientologie. Mais a été exclu parce qu'il refusait de renier ses écrits en faveur de la secte, confirmant son rôle de soutien objectif.. Dans une étude de 1979, le psychiatre, rémunéré par la scientologie, qualifia cette dernière de «mouvement religieux récent [...] sans rapport avec la profusion des sectes». En 1981, Bornstein écrit dans la revue Les dossiers de l’histoire : « Vaste synthèse originale répondant au statut socio-politique de l’homme moderne, la scientologie prônée par L.R Hubbard s’impose comme la plus globale conception face aux incertitudes du 3è millénaire. Parce qu’elle est égalitaire, universaliste et qu’on a jamais posé avec autant de force une éthique tous azimuts impliquant l’ensemble des connaissance issues des sciences humaines et exactes, parce qu’elle appelle à une réconciliation féconde des mécanismes de pensée orientaliste avec la technologie et la tradition occidentale, cette Nouvelle Compréhension dérange. On lui oppose le mythe obsolète de la sagesse antique, les dogmes inébranlables des religions officielles, des Idéologies régnantes ou consacrées par le temps. La phobie de la mystification des faux prophètes s’étend à son fondateur, objet de sarcasmes et de détractions. On parfois reproché à la scientologie de n’être qu’un épiphénomène, symptomatique de la « mode » de recherche communautaire. Or, ce qui est essentiel c’est l’attitude critique pour analyser les faits et l’objectivité scientifique incontestable de cette méthode qui, par cela, séduit des adeptes de plus en plus nombreux; volonté propagandiste de quelques dirigeants. 5 A cette phase d’opposition pratiquement au diapason de l’enthousiasme des pionniers, a succédé la vigueur d’implantation d’une Eglise dont la Jeunesse et la santé mentale de ses membres sont des témoignages de sa foi dans l’avenir. Même si ceci doit chagriner certains censeurs, rien ne permet d’assimiler la scientologie avec une secte sans lendemain car, abord de l’homme et des forces naturelles, c’est un hymne au respect et à la paix générale.L.R. Hubbard s’impose comme une figure marquante du XXè siècle et sa philosophie religieuse se range parmi les grands courants spirituels de l’Humanité. Refusant le culte de la personnalité et satisfait de l’impulsion donnée, il adopte désormais une réserve discrète tandis que le mouvement va s’amplifiant et étonne le monde. La plus grande récompense pour un homme « dont la tâche est de pénétrer l’existence », c’est de voir vivre et rejaillir les sources de sa parole. » En 1987, enfin, Bornstein persiste et signe dans une troisième étude à la demande des avocats de la secte: «La méthode de purification [scientologue] nous semble devoir être vue à travers le courant spiritualiste qui l'a inspirée, renouvelant les principes initiatiques prônés parles grandes religions depuis des temps ancestraux.» Au cours de ces six années, entre la découverte des écrits pro-scientologues du neuropsychiatre et son exclusion du GO, la loge Droiture et solidarité est déchirée et à la limite de l'explosion. De hauts responsables de l'obédience n'hésitent pas à affirmer que l'expert psychiatre, spécialiste des comportements criminels, est membre de la secte, et d'autres frères, citant le cabinet d'un ministre du gouvernement Jospin, soutiennent qu'il serait même l'un de ses principaux dirigeants occultes! Tout a basculé lorsque le psychiatre a finalement refusé de prendre ses distances, par écrit, avec ses rapports favorables à la secte. Ses frères les plus fidèles ont déserté les tenues du GO après son exclusion. Epilogue de cette affaire rocambolesque, Bornstein est involontairement à l'origine du vote par le convent de septembre 2000 d'une résolution interdisant l'appartenance d'un maçon du GO à l'une quelconque des 172 sectes citées dans le rapport parlementaire Gest-Guyard de 1995. 6
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Commentaires
G
NON ne confondons pas comme l'a fait un rapport parlementaire L AMORC et toutes les rose croix et en particulier LA ROSE CROIX D OR <br /> <br /> non la ROSE CROIX D OR N ENSEIGNE PAS LA TELEPATHIE NI LA TELEKINESIE ET AUCUNE BROCHURE SUR CE THEME.
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